Objets encombrants

Démarche d'hier : essayer de revendre mon vélo breton (je précise parce que j'en ai un autre à Toulouse...). Donc une petite annonce sur l'intranet de France Telecom (sans trop d'espoir vu la fréquentation du dit intranet), et le soir au Jiujitsu, à l'occasion du pot pour fêter nos nouveaux ceintures noires, je demande à tout hasard à UNE personne si elle connaîtrait pas quelqu'un qui a besoin d'un vélo : "si, moi". Marché conclu. Ah si tout pouvait être aussi facile... !

Parce qu'à Toulouse c'est fou ce qui a pu s'accumuler comme bazaar (avec 2 A, sic) : une collec de CD, des fringues d'il y a 15 ans, une pile de revues prête à s'écrouler, des étagères pleines de livres... C'est ça de passer 7 ans dans la même ville (une première pour moi).

Et dans la catégorie "encombrement maximal" il va encore falloir se débarrasser (sans compter les meubles) d'un rameur, d'un autre vélo, et d'un sac de frappe (plein). Mais je désespère pas de trouver des acquéreurs dans mon entourage de grands sportifs :-) Je lance les enchères tout de suite, d'ailleurs : si l'un de mes fidèles lecteurs est intéressé par un des objets sus-cités, qu'il se fasse connaître en commentaire :-)

Alors bonne résolution pour l'Australie : ne pas s'encombrer d'objets encombrants qu'il faudra revendre pour repartir ! (Euh... c'est encombrant une PS3 ? et un écran plasma ? :-/)